Les Pfizer Papers de Naomi Wolf ne sont pas nés du hasard. Leur autrice, Naomi Wolf, est une figure majeure des médias et de la politique américaine : autrice à succès, elle s’est fait connaître dès les années 90 avec Le mythe de la beauté, avant de devenir conseillère politique pour Bill Clinton et Al Gore. Pendant des décennies, elle a été une voix influente dans les cercles progressistes. Pourtant, tout bascule en juillet 2021. Après avoir relayé sur Twitter des témoignages de femmes rapportant des troubles menstruels après la vaccination Covid, Naomi Wolf est censurée et ses biographies sont modifiées pour la discréditer. Cet événement marque le début de son engagement comme lanceuse d’alerte, qui aboutira à la publication des Pfizer Papers de Naomi Wolf.
Pourquoi ces documents sont-ils si uniques ? Ils existent grâce à un procès retentissant : en 2021, l’avocat Aaron Siri obtient devant un tribunal l’obligation pour la FDA de rendre publics 450 000 documents internes de Pfizer. Initialement, la FDA voulait garder ces informations secrètes pendant 75 ans ! Ce refus du tribunal a permis leur divulgation, mais ces documents étaient si complexes qu’ils risquaient de disparaître dans l’oubli. Naomi Wolf décide alors de les rendre compréhensibles.
Pour ce faire, elle réunit plus de 3 200 experts bénévoles : oncologues, cliniciens, biologistes, enquêteurs, tous unis pour analyser chaque page et rédiger 109 rapports accessibles.
Un effort colossal, sans financement, uniquement motivé par la volonté de faire éclater la vérité. C’est ce travail qui a donné naissance aux Pfizer Papers de Naomi Wolf.
Mais que révèlent ces documents ? D’abord, des effets secondaires massifs : en seulement trois mois de suivi, plus de 12 000 décès suspectés et plus de 140 000 effets indésirables graves sont enregistrés, incluant AVC, crises cardiaques, caillots sanguins, lésions neurologiques. Pourtant, le public n’en a rien su. Les autorités sanitaires ont continué à affirmer que le vaccin était « sûr et efficace ».
Plus alarmant encore, les Pfizer Papers de Naomi Wolf dévoilent des dommages majeurs sur la santé reproductive. Troubles menstruels, fausses couches, complications graves des grossesses : ces informations étaient connues de Pfizer dès le début.
Les nanoparticules lipidiques des vaccins ont été retrouvées dans les ovaires, les testicules, le placenta, provoquant des lésions pouvant compromettre la fertilité masculine et féminine. Naomi Wolf s’interroge : comment expliquer qu’un vaccin censé cibler une maladie respiratoire ait donné lieu à tant de données sur la reproduction ?
Elle rappelle que dans ces documents, il n’y a presque rien sur les poumons ou la transmission respiratoire, mais des informations détaillées sur la fertilité et les rapports sexuels.
Pour elle, il est difficile de croire à une simple coïncidence. Les conséquences sont graves : chute des naissances, surmortalité, effets à long terme encore inconnus.
Aujourd’hui, Naomi Wolf alerte sur un enjeu mondial ignoré. Elle constate un effort de censure massif pour empêcher ces informations de se diffuser. Selon elle, il est essentiel que chacun sache ce que ces documents révèlent, car ils pourraient expliquer les bouleversements démographiques et sanitaires observés dans les pays occidentaux.
🎥 Pour entendre directement Naomi Wolf, regardez l’interview exclusive en français réalisée grâce à la chaîne Tocsin. Cliquez sur l’image ci-dessous pour la voir au bas de notre article:
💬 Et vous, que pensez-vous des révélations des Pfizer Papers de Naomi Wolf ? Avez-vous lu le livre ou vu l’interview ? Partagez votre avis en commentaire : votre voix peut aider à ouvrir le débat.
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