La liberté d'expression scientifique - un pilier fondamental de notre démocratie. Mais que se passe-t-il quand un colloque international réunissant des Prix Nobel est brutalement annulé pour des raisons de "sécurité" ?
Hmm... c'est vraiment troublant que cet événement au Palais Brongniart ait été annulé si soudainement, surtout quand on sait qu'il devait accueillir le Dr Robert Malone, l'un des pionniers de la technologie ARN messager.
Et ce qui est encore plus intéressant, c'est que parmi les intervenants se trouvait le Dr Jean-Marc Sabatier, un directeur de recherche au CNRS qui a fait un virage à 180 degrés dans sa position sur les vaccins ARN.
Oh, vous voulez dire qu'il était initialement favorable à ces vaccins ?
Exactement — en décembre 2020, il écrivait même sur France Info que l'arrivée du vaccin était une excellente nouvelle. Mais après avoir étudié en profondeur la technologie, ses conclusions sont devenues bien plus nuancées.
Eh bien, pouvez-vous nous expliquer ce qui a provoqué ce changement de perspective ?
Pour comprendre, il faut d'abord faire la distinction entre les vaccins traditionnels et ces nouveaux vaccins à ARN messager. Les vaccins classiques utilisent des méthodes éprouvées : microbes inactivés, vaccins à vecteur, ou protéines recombinantes.
Alors que les vaccins à ARN messager fonctionnent d'une manière complètement différente, n'est-ce pas ?
Tout à fait. Ces vaccins introduisent un ARN messager modifié, encapsulé dans des nanoparticules lipidiques, qui utilise nos cellules comme des micro-usines pour produire la protéine Spike. Et c'est là que les problèmes commencent.
Vous parlez des risques identifiés par le Dr Sabatier ?
Oui, et ils sont nombreux. Premier point crucial : la production d'antigènes est totalement incontrôlée. Même dose, mais production variable de protéine Spike selon les individus. C'est comme jouer à la roulette russe avec notre système immunitaire.
Et j'ai entendu dire que ces ARN ne restaient pas localisés au point d'injection...
C'est l'une des découvertes les plus préoccupantes. Non seulement l'ARN circule dans tout l'organisme, mais ces ARN modifiés persistent plusieurs mois, alors que les ARN naturels sont détruits en quelques heures.
Mais comment expliquer alors que des milliards de personnes semblent avoir bien toléré ces vaccins ?
Le Dr Sabatier l'explique par des différences génétiques majeures, notamment au niveau du complexe HLA. C'est comme si certaines personnes avaient un bouclier naturel, tandis que d'autres sont plus vulnérables.
Et la vitamine D joue aussi un rôle, non ?
EXACTEMENT ! Le calcitriol, forme active de la vitamine D, est crucial. Un taux supérieur à 50 ng/mL offre une protection significative. C'est pourquoi le Dr Sabatier recommande une supplémentation, accompagnée de vitamine K2 et de magnésium.
Mmhmm... et qu'en est-il de l'extension de cette technologie aux animaux d'élevage ?
Ah, voilà un aspect vraiment inquiétant. Prenez le vaccin Ceva Responce One pour les canards : 62 millions d'animaux vaccinés en France, dont 28 millions avec ce vaccin ARN auto-amplifiant. Une seule molécule peut générer des milliers de copies dans les cellules.
C'est assez effrayant quand on y pense...
D'autant plus que ces ARN pourraient se révéler plus résistants que prévu. Le Dr Sabatier s'inquiète de leur possible persistance dans la chaîne alimentaire, une question totalement ignorée par les autorités.
Tout cela nous ramène à la question de la liberté d'expression scientifique, n'est-ce pas ?
Absolument crucial. Le Dr Sabatier insiste : il n'a aucun intérêt financier dans cette affaire. Au contraire, ses prises de position lui ont coûté. Ce qu'il défend, c'est la nécessité d'un débat scientifique libre et ouvert.
Et quelles sont les implications pour l'avenir ?
Eh bien, le projet semble être de remplacer tous les vaccins actuels par cette technologie d'ici 2030. Sans débat public, sans études longues sur la sécurité. C'est comme si on mettait la charrue avant les bœufs.
Cela soulève vraiment des questions fondamentales sur notre rapport à la science et à la démocratie.
En effet, et c'est peut-être le message le plus important : la science ne progresse pas par le consensus forcé mais par le débat. L'annulation de ce colloque n'est qu'un symptôme d'un problème plus profond.
Une belle conclusion pour notre émission d'aujourd'hui.
Allez lire notre article sur notre blog, vous y trouverez l’interview du Dr Sabatier ainsi que les liens vers ses livres à ne surtout pas rater tellement ils sont éclairants! Pour tous publics!
Share this post